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Puis d'autres études anatomiques les avaient rattachées aux lépidosaures (signifiant "lézards à écailles" en grec ancien), un [url=http://www.weicol.com/forum.php?mod=viewthread&tid=41065&fromuid=286]louboutin Violences dans les stades Les nouvelles mesures annoncées existent[/url] vaste groupe d'espèces englobant tous les lézards et serpents ("squamates") ainsi que les tuatara, proches parents dont il ne subsiste actuellement que deux espèces en . Les progrès récents de l'étude moléculaire des espèces, fondée sur la génétique, ont encore un peu plus bouleversé l'arbre généalogique ("phylogénétique" disent les spécialistes de l'évolution) des tortues. L'analyse de leur ADN les avait fait de la branche des lépidosaures à celle de leurs cousins "archosaures" : les grands-pères des dinosaures ayant vécu voici 250 millions d'années et dont sont issus tous les crocodiles et les oiseaux actuels.
"PREUVE ?CRASANTE"
, la des tortues n'est pas [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] une proche [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] cousine des lézards et des serpents. Selon une étude publiée mercredi, [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] c'est avec les crocodiles et les oiseaux qu'elle partage un très lointain ancêtre commun.
Les chercheurs ont abouti à 1 145 UCE. Et l'analyse comparée de ces témoins génétiques de l'histoire des espèces fournit selon eux la "preuve écrasante" que les tortues sont bien issues des "archosaures". "Etant donné que les UCE sont conservés à travers la plupart des groupes de [url=http://all.kaipad.net/ST/ghq/gzsll_cn/bbs/home.php?mod=space&uid=942][/url] vertébrés, et qu'on les trouve également chez certaines moisissures et insectes, notre approche est généralisable au-delà du seul cas de cette étude et elle est pertinente pour résoudre de vieilles énigmes sur l'évolution de la vie", assurent les auteurs de l'étude, publiée [url=http://kizuna-shuzenji.com/form/cgi/postmail/postmail.cgi]hollister france 5 Secret Met[/url] dans la revue de l'Académie des britannique.
Nicholas [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] Crawford, de l'université de Boston, et ses collègues ont donc passé dans cette savante [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] moulinette le serpent des blés (Pantherophis guttata), la tortue à cou caché d' (Pelomedusa subrufa), la tortue peinte (Chrysemys picta), l'alligator d'Amérique (Alligator mississippiensis), le crocodile marin (Crocodylus porosus) et le tuatara (Sphenodon tuatara). Afin de préciser leur analyse, ils ont ajouté dans cet étrange cocktail génétique des extraits d'UCE de coq sauvage (Gallus gallus), originaire du [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] Sud-Est asiatique et à l'origine de toutes les [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] poules domestiques, un peu de [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] Diamant mandarin (Taeniopygia [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] guttata), un oiseau très répandu en , un zeste d'Anole vert (Anolis carolinensis), une espèce de lézard des Etats-Unis, le tout saupoudré de génome humain (Homo sapiens).
Les tortues ont beau lentement, le chemin qu'elles ont parcouru depuis 200 millions d'années reste l'un des derniers mystères de l'évolution des vertébrés. Historiquement, sur [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] la base de certaines caractéristiques physiques (morphologie du cr?ne, carapace, etc.), les tortues étaient considérées comme ayant très t?t divergé des autres reptiles, dont elles auraient constitué les représentants les plus anciens.
Sauf qu'une récente étude génétique fondée sur d'autres marqueurs les avait [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] ramenées sur la branche des lépidosaures. Soucieuse de ces contradictions, et d'éviter aux pauvres tortues un inconfortable grand écart généalogique, une équipe de biologistes américains a utilisé une nouvelle méthode : des éléments génétiques similaires [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] présents dans toutes les espèces concernées ("éléments ultra-conservés" ou UCE), étudier l'ADN qui leur est associé et le tout pour de l'histoire de leur évolution.