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Au Zébra Square, entièrement restructuré, la nouvelle carte se veut branchée sous la houlette de Thierry Burlot, chef d'expérience. Cela donne une carte aux entrées multiples servies dans [url=http://www.mnfruit.com/abercrombie.php]abercrombie[/url] de petits plats à la fa?on d'un mezzé libanais (9 cold appetizer pour 16 euros ou 7 hot appetizer pour 18 euros). C'est amplement suffisant, et délicieux, pour un déjeuner entre copines.
Vue de la rue Lamenais, au Taillevent, la crise est parée de vertus inattendues. Elle oblige à un effort, reconna?t Valérie Vrinat, qui compense la dureté des temps par une faveur accordée à ses clients, avec le menu hebdomadaire du chef Alain Soliverès à 80 euros, au déjeuner, accompagné de vins au verre à de 10 euros.
Gérard Vié, qui connut la célébrité à la tête du Trianon Palace à Versailles, est de retour sur la scène gourmande dans un [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] modeste bistrot de la rue du Cherche-Midi, à Paris, où il nous régale de ses terrines (volaille, lapin, hareng, pied de porc haricots blancs), et de poissons ou viandes [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin[/url] d'exception (paleron, c?tes de cochon, volaille, veau du ) admirablement servis. Une formule à 24 euros, un menu carte à 34 euros : du sur-mesure à prix soldé !
Là, Régis Douysset, solide gaillard de 35 ans, a fait son nid depuis 2005 et [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&rd=1&item=350246077266&ssPageName=STRK:MESE:IT]abercrombie soldes F1 Ferna[/url] obtenu une étoile au Michelin en 2008. Une carte courte, lisible, annonce la couleur : menu 44 euros. Chaque plat est signé. Suprêmes de pigeon au sang, cuisses confites et choux frisés ou bien agneau de Lozère, polenta et artichauts : voici deux plats où chaque élément conserve sa texture. Pour Régis Douysset, le temps de crise est un temps de création.
Au Six New York, le Normand Jér?me Gangneux, cuisinier avisé, joue la continuité avec la formule éprouvée d'un menu carte sans surprises à 30 euros et 35 euros. Il invite à contre la crise avec du solide : parmentier de paleron, assiette tout cochon et tripes à la domfrontaise dans lesquelles le poiré remplace le vin blanc. La [url=http://www.54sdrzsh.com/home.php?mod=spacecp&ac=blog&blogid=]nike air jordan pas cher Watch Californication Sea[/url] meilleure réponse à la situation annoncée para?t être celle de l'Escarbille à Meudon, où tous les ingrédients de ce qui fit autrefois [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] à Asnières le succès du pot-au-feu de Michel Guérard sont réunis. Sans marketing, ni effet d'annonce. D'abord une b?tisse anonyme dans une rue calme, ancienne gare de Meudon-Bellevue, décorée par Alberto Balli.
Les malheureux avaient leurs habitudes dans les grandes tables de la capitale et dépensaient sans ; certaines aujourd'hui les aident [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] à les apparences. Ainsi, en face [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] de la , Mori Venice Bar, fameux italien, propose-t-il un menu à 40 euros, indexé sur le CAC 40. Une aubaine ? Non, un clin [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] d'oeil, car l'indice joue sur le pourcentage journalier arrêté à la cl?ture des cours de la veille, mais sans effet cumulatif !
Or, subrepticement, la crise sociale [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] oblige la cuisine à de . Certains restaurateurs et chefs l'ont compris. A Paris, au Café du Commerce, vaste espace populaire et dernier des fameux Bouillon Chartier, voué à la promotion de la viande de race limousine, les prix ont subi une cure d'amaigrissement. [url=http://cgi.ebay.ca/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=321008881654&ssPageName=STRK:MESE:IT]abercrombie pas cher Generati[/url] Un "menu des familles" (19,50 euros) propose le choix entre des hors-d'oeuvre classiques de brasserie, un plat à (andouillette, pièce de boeuf ou tartare) et les desserts d'enfance (pêche Melba, poire Belle-Hélène).
Chez Lasserre, menu à 75 euros au déjeuner et vins au verre. Chez Guy Savoy, trois étoiles Michelin, les internautes qui hésitent... sont invités à une demi-entrée, un plat de la carte et un demi-dessert pour un forfait de 100 euros par [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] personne.
Ailleurs, pas question, pour le moment, de les [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] prix. On se contente de quelques marges. Jusqu'au 13 mars, cédera la truffe à prix co?tant dans quatre de ses établissements parisiens (Spoon, Rech, , Beno?t). Par chance la truffe noire du Périgord - Tuber melanosporum - est abondante et pas trop chère cette année !
de [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] 30 % en 2009. Certains chefs ont vu la crise, d'autres pas (Le Monde du 10 décembre 2008). Les grandes tables croient encore y échapper tant est ancrée chez elles l'idée que le somptuaire, "par définition une synthèse du [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] splendide et de l'inutile" (Jean-Paul Aron), se trouve de fait indémodable. C'est méconna?tre que ce n'est pas la cuisine qui dicte ses modes à la société mais l'inverse.