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de Dijon, fait partie de ces proviseurs qui estiment bon le de leur établissement, mais ne l?che rien. Son des établissements – la loi du genre – l'a mené successivement de l'Oise à la campagne dijonnaise, avant de en -ville.
Ainsi, a eu affaire à un petit trafic de drogue. "Une [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] histoire très classique avec les adolescents, sans doute, mais que je n'ai pas oubliée. J'étais cette fois en poste dans un établissement de zone rurale. Depuis quelques temps déjà, [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] l'équipe enseignante pensait qu'un lycéen consommait de l'herbe et en revendait. Les gendarmes aussi le suspectaient et sont intervenus un matin dans le bus scolaire, trouvant [url=http://hayasoft.com/junjun/epad/epad.cgi]moncler Un relèvement des quo[/url] effectivement des doses sur lui. Peu de temps après il a été surpris dans l'établissement en train de dealer dans les toilettes. J'ai porté plainte, nous avons fait deux conseils de discipline et exclus les deux élèves concernés. La deuxième, qui était une fille, a été rescolarisée sous une semaine [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/‎]hollister paris[/url] dans un établissement voisin. En revanche, ?a a été plus compliqué pour le premier élève. Ses parents ont contesté le renvoi auprès du rectorat. Il a refusé l'établissement proposé. Son cas a trainé quelques temps et je crois [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] me qu'il n'a pas obtenu son bac", se rappelle le proviseur.
Faire aux [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] parents l'intérêt d'une sanction devient à ses yeux de plus en plus difficile. "Je prends en ligne au téléphone tous les parents qui contestent une sanction, aussi minime soit-elle, souligne l'éducateur, [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] mais il n'est pas toujours aisé de les ."
Quelques années auparavant, il s'était fait copieusement sur le parvis du lycée de Méru, dans l'Oise, où il [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] exer?ait alors. "On n'était pas si nombreux à s' sur la "dalle" qui jouxtait l'établissement, lorsque des jeunes venaient avec leurs chiens de [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] y nos élèves. Une fois, un groupe était venu se avec quelques-uns de mes lycéens pour des histoires de filles. La bagarre avait eu lieu à l'extérieur mais j'ai considéré de mon de plainte parce qu'un de mes jeunes avait re?u une gifle devant tous ses camarades et que ce n'est pas [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] anodin, à 17 ans. Je ne pouvais pour "intrusion", puisque l'agression avait eu lieu hors les murs du lycée. Mais je pouvais déposer plainte puisque ces jeunes avaient pénétré dans l'enceinte du lycée, et qu'une surveillante avait d? face à leur venue."
SURPRIS EN TRAIN DE DEALER DANS LES TOILETTES
L' réalisée par l'Observatoire de la violence scolaire montre que les insultes sont les premières causes de dép?t de plaintes. Mais un proviseur [url=http://park23.wakwak.com/~s-e/cgi-bin/joyful/joyful.cgi]hollister pas cher Enjoying T[/url] peut aussi être amené à face à bien d'autres délits.
L'enquête de l'Observatoire de la violence scolaire montre en effet que 14% des chefs d'établissements estiment qu'ils ne sont plus [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] respectés par les parents. Ils n'étaient que 8% en 2003. Statistiquement faible, le glissement éclaire une [url=http://www.dworekprzeznaczenia.fora.pl/francja,39/doudoune-moncler-hostilit-233-au-gaz-de-schiste-pru,4966.html#5688]doudoune moncler Hostilité au gaz de schiste, pru[/url] partie du quotidien des chefs d'établissement aujourd'hui.
Depuis qu'il y est installé, M. Charpentier, secrétaire académique du principal syndicat des proviseurs, le SNPDEN, a d? intervenir les forces de l'ordre. Une "histoire" qui illustre assez bien les données de réalisée par pour l'Observatoire de la violence scolaire, qui signale que ce sont des parents que proviennent le plus souvent les insultes proférées à l'encontre des chefs d'établissements.
"Il manquait un papier à une lycéenne pour qu'elle soit inscrite au bac. Elle le signale sur son portable à son père et ses deux parents arrivent séance tenante dans [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] le hall du lycée où ils exigent de me , en injuriant copieusement les personnels qui sont là. Des insultes très violentes. Face à la situation, j'appelle les forces de l'ordre, qui essuient elles aussi une vraie volée de bois vert. L'esclandre que [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler[/url] nous voulions a évidemment lieu devant les lycéens qui sortent en récréation. Je porte plainte pour ce comportement qui n'a pas lieu d'être dans un lieu d'éducation. D'ailleurs, les policiers eux aussi font la même démarche", rapporte ce proviseur qui dans sa carrière a porté plainte trois fois pour des insultes proférées à son encontre.