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Mais les données génèrent-elles un gain de productivité ? Oui, répond menée par , économiste à la Sloan School of Management et responsable du groupe au du Massachusetts Institute of Technology et auteur de (Connecté pour [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] l'innovation, comment les de l'information refa?onnent l'économie), , professeur à la de l'université de Pennsylvanie, et étudiante au MIT. Selon ces chercheurs, qui ont étudié 179 grandes entreprises américaines qui ont adopté des modèles de décisions conduites par les données, la productivité serait de 5 à 6 % plus élevée que [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] celle des autres entreprises. Une différence qui ne pourrait pas être expliquée par d'autres facteurs, comme l'investissement dans les technologies, estiment les chercheurs...
Depuis 2004, la productivité américaine a ralenti de nouveau. Elle diminue lorsque l'innovation sur la base des nouvelles technologies fondamentales s'épuise, explique . La locomotive à vapeur et [url=http://anglic.uueasy.com/read.php?tid=258455]nike air jordan pas cher Be Prepared - How To Travel With Kids[/url] les chemins de fer ont alimenté la première révolution industrielle, la seconde a été alimentée par l'électricité et le moteur à combustion. L'internet est considéré comme la troisième révolution industrielle – mais elle s'est révélée beaucoup plus courte que les deux précédentes.?"Je pense que nous voyons là des traces qui montrent que nous [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin pas cher[/url] sommes encore dans la révolution internet".
Le gain de productivité d'une technologie ne survient que lorsque les gens adoptent de nouvelles compétences pour les gérer et de nouvelles fa?ons de , explique Steve Lohr. Le moteur électrique par exemple, introduit dans les années 1880 à mis 40 ans avant de des gains de productivité : le temps que leur utilisation se répande et que les entreprises réorganisent le travail en fonction... En 1987, 10 ans après la révolution des ordinateurs personnels, l'économiste Robert Solow () faisait justement que l'informatique n'avait pas encore montré son impact dans les statistiques de productivité. Ce n'est qu'en 1995 que la productivité de l'économie américaine a [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler[/url] commencé a gr?ce aux ordinateurs et ce jusqu'en 2004. Il y a [url=http://www.hunanqixie.com/wygkcn_GuestBook.asp]air jordan[/url] toujours une latence des gains de productivité dans l'absorption de la technologie, observe , économiste à [url=http://www5.pf-x.net/~t-kjm/cgi-bin/joyful/up_aoc.cgi?mode=res&no=28]moncler outlet Les collectivi[/url] l'université Northwestern.?"Ce n'est jamais la technologie pure qui fait la différence, mais une réorganisation des choses – notamment la fa?on dont le travail est effectué".
La conclusion que les s qui reposent fortement [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] sur l'analyse des données sont susceptibles d'être meilleures que d'autres n'est pas nouvelle. , dont le succès est basé sur l'exploitation des données en est le plus brillant exemple. C'était d'ailleurs le sujet du dernier livre de , professeur de technologie de l'information et de gestion au Babson College, Jeanne G. Harris et Robert Morison (L'analytique au travail : meilleures décisions, meilleurs résultats qui fait suite à ). Mais selon Brynjolfsson?"cette étude est la première preuve quantitative des anecdotes dont nous entendons parler"... Et [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler[/url] cela ne devrait que à mesure que les outils d'analyse de données vont se démocratiser, estime leur auteur.
Dans l'étude, la "décision conduite par les données" caractérisait des entreprises qui non seulement collectaient des données, mais aussi les utilisaient aussi pour [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] des décisions, créer un nouveau produit ou évoluer un service, plut?t que [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] de se référer à l'expérience et l'intuition de son management.?"Or, une différence de 5 % de la production et de la productivité est suffisamment importante pour les gagnants et les perdants dans la plupart des industries", estime Brynjolfsson.?"Les entreprises dont les décisions sont guidées par l'analyse des données sont aujourd'hui le signe avant-coureur d'une [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] tendance de fond dans la fa?on dont les gestionnaires vont être [url=http://www.lcdmo.com/hollister.php]hollister pas cher[/url] amenés à des décisions.
. Comme tout [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] un chacun, les entreprises nagent (quand elles ne se noient pas) dans les vagues de données : du suivi informatique le plus sophistiqué des expéditions, des ventes, des fournisseurs, des clients, des e-mails, du trafic web et de l'observation des . Selon certaines estimations, le volume des données d' doublerait tous les 1,2 ans...
En attendant, l' du est en train de le pari que la décision construite sur les données est l'. IBM, , SAP, ont dépensé collectivement plus de 25 [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan[/url] milliards de dollars en rachats d'entreprises spécialisées dans le domaine.?"Le plus grand changement auquel les entreprises sont confrontées est l'explosion des données", explique David Grossman, analyste financier chez .?"Le meilleur business est désormais d' les clients à toutes ces données."
"Pourtant, l'explosion des données est aussi une énorme opportunité". Car l'information est en passe de devenir?"le principal atout, la matière première de nouveaux produits et , comme des décisions". A l'heure de l'économie de l'information, elles deviennent l'avantage concurrentiel des entreprises.