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De nos jours, la gestion de l'économie France est contrainte et subie. Les stabilisateurs ou amortisseurs ont disparu ou bien sont absents. Nous connaissons structurellement un manque d'adéquation à la demande mondiale et un abandon de positions dans le haut de gamme par la réduction de la part de notre et des faiblesses en RD. Nous sommes trop souvent pris en [url=http://hccweb6.bai.ne.jp/nyanji/cgi-bin/aska.cgi]abercrombie soldes Football [/url] tenaille entre les pays à puissance commerciale, les pays émergents [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] et ses partenaires compétiteurs.
De cette position de France au début de la première partie de la seconde mondialisation que reste-t-il au début du XXIe siècle?? Nous passons de la situation de "gérer au mieux" à une situation "subir ou être fortement contraint". Le secteur n'est plus un secteur moteur pour notre économie (délocalisation de la cha?ne de production avec [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] effets sur le tissu des sous traitants en France). Le secteur des produits manufacturés est déficitaire. Les points forts sont en déclin en termes d'excédents comme l'illustre les chiffres des industries agroalimentaires. Nous ne sommes plus [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] le deuxième exportateur mondial.
Que va l'économie France dans cette [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] mondialisation?? Durant la première mondialisation qui s'est produite entre 1870 à 1914, la France était la deuxième puissante économique, (elle investissait 3,5 % de son revenu national à l'étranger (chiffre [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] plus élevé [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] qu'aujourd'hui), elle était ainsi le deuxième pays à à l'étranger vers l'Empire Ottoman, l'Amérique latine et la ). Elle a su gérer "au mieux" le profond bouleversement de la hiérarchie mondiale. Elle est arrivée à se protéger par différents stabilisateurs (amortisseurs) comme la remise en cause des accords commerciaux (mesures protectionnistes) ou bien ses liens avec ses colonies?: commerciaux (13 %) et investissements (10 %).
un fort recul des parts de marché dans le commerce mondial?: la France a [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] perdu 35 % de 1995 à 2010 (calcul de Natexis). Les exportations de produits manufacturés comparativement à celles de l' sont passées de 56 % au début du siècle à 37 %.
Quelle place l'économie France va-t-elle dans la nouvelle mondialisation en cours?? Depuis la phase d'internationalisation (milieu des années 1960), l'histoire économique nous montre que nous avons gérer "au mieux" la situation avec les outils suivants?:
La conclusion est simple?: l'économie France a glissé en dessous de la frontière technologique pour sa place dans la [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] mondialisation en cours. Seule une forte mobilisation autour d'un plan national de reconquête et décentralisé au niveau des acteurs pourrait être [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php‎]giuseppe zanotti soldes[/url] efficace. Une industrielle européenne active et qui dépasserait la seule création [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] d'un favorable aux affaires en serait le volet complémentaire. Le temps ne joue plus en [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant pas cher[/url] notre faveur...
Nos [url=http://520yulin.com/forum.php?mod=viewthread&tid=70244]tiffany Leuro est mort, vive leuro franc ![/url] nombreux atouts justifiaient notre position comme puissance exportatrice et [url=http://kizuna-shuzenji.com/form/cgi/postmail/postmail.cgi]isabel marant pas cher Open d[/url] notre rang mondial (capital humain, position géographique en , choix de certains secteurs porteurs comme l'aéronautique et l'énergie). Nous ne pouvions pas être une puissance commerciale, c'est-à-dire un pays qui choisit ses marchés extérieurs et qui impose sa puissance compétitive.
Le bilan est malheureusement évident?: une France qui s'est désindustrialisée plus vite que les autres pays européens, qui perd ses points forts et qui n'est pas capable de émerger de nouveaux axes (cf. Artus [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] et Virard, 2011). De plus, la croyance de la nouvelle division internationale du travail avec les nouvelles et les pour les pays industrialisés est une erreur. Les exemples américains et surtout allemand démontrent qu'il faut un puissant socle industriel.