www.gflames.fora.pl

nukk41df

1)Développer l’offre de formation professionnelle, notamment à l’université, et limiter, voire réduire dans certains domaines, le nombre de spécialités. Autrement dit ; former dans des [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] champs de compétence plus larges et non plus trop étroits. ? Il y a de plus en plus de formation professionnelle mais cela se traduit par une variété de plus [url=http://jdcz.acedu.net.cn/E_GuestBook.asp]hollister[/url] en plus fine dans les filières pour lesquelles on forme les étudiants afin qu’ils soient employables immédiatement ?, reconna?t M. Chriqui. Le [url=http://www.lushuihe.org/E_GuestBook.asp]barbour uk[/url] Centre d’analyse stratégique avait déjà pointé cette question dans des travaux antérieurs constatant en effet que cinq ans plus tard, la moitié des jeunes n’étaient pas employés dans ce pourquoi ils avaient été formés initialement.
2)Rapprocher les universités des instances de la formation professionnelle [url=http://www.houseproudtv.com/profile.php?user=vhghdlkxxm&v=comments]LAgence fran aise des produits de santé reste fiable[/url] : permettre aux présidents d’université d’être membres des Comités de coordination régionaux de l’emploi et de la formation professionnelle (CCREFP) et la conférence des présidents d’universités d’être membre du conseil national de la formation professionnelle tout au long de la vie (CNFPTLV) afin de mieux cerner les besoins en formation en fonction de l’économie.
3)Permettre aux universités de créer, à leur initiative, des dipl?mes nationaux de formation professionnelle, sous réserve de l’accord du ministère et dans le cadre du contrat Etat-établissement. Avec cette proposition, l’Etat ne serait pas le [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] seul à pouvoir créer des dipl?mes, [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] les universités –sous le contr?le de l’Etat évidemment- pourraient aussi avoir l’initiative et proposer à l’Etat de créer des dipl?mes professionnalisant. Inversement, l’Etat pourrait donner la possibilité à une université de créer tel ou tel dipl?me.
Le deuxième axe des propositions vise à adapter le [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] rythme des formations dans les filières générales.
4)Développer l’apprentissage dans les formations générales à l’université : moduler les périodes de formation et celles de travail en entreprise durant [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] le contrat d’apprentissage [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] ; [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] permettre aux étudiants d’effectuer la majorité de leur temps en entreprise (80% au maximum) durant la dernière année d’un dipl?me préparé en apprentissage ; accorder un label ? période d’apprentissage ? aux stages inférieurs à deux mois, si ceux-ci sont rémunérés, et les inclure en ? équivalent temps plein ? dans le calcul du seuil des apprentis. ? Cette [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] proposition vise à introduire plus de souplesse. Car le problème de l’apprentissage, c’est de trouver un employeur ?, souligne M. Chriqui.
5)Sous réserve de leur compatibilité avec le cursus de formation, permettre de prendre en compte [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] les périodes de travail étudiant (cumul emploi-étude, travail durant l’été…) dans la validation des dipl?mes, notamment comme périodes de stage. Evidemment, il faudra [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] que ces périodes de travail aient un rapport avec les études poursuivies.
Nathalie Brafman
Comment augmenter le nombre d’étudiants dans le supérieur tout en favorisant leur insertion professionnelle ? Vaste sujet ! En France, l’objectif fixé en 2005 est d’atteindre 50 % d’une génération de dipl?més du supérieur. Encore faut-il qu’à l’arrivée, cette génération trouve un emploi.
Le Centre d’analyse stratégique devait présenter mardi 24 janvier cinq propositions visant à améliorer l’insertion professionnelle des étudiants du supérieur. Aujourd’hui, deux étudiants dans le supérieur sur trois (sur un total de 2,3 millions) suivent ce que l'on appelle une formation professionnelle, (BTS, DUT, grandes écoles, médecine ou encore les filières à vocation strictement professionnelles dans les universités….) par opposition à une formation générale (sociologie, histoire, lettres, mathématiques…).
? Or, s’il faut bien s?r permettre à des [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] étudiants de faire des études générales, il est indispensable d'insérer des éléments de professionnalisation dans leurs études. Car faute de débouchés naturels par rapport aux matières qu’ils ont étudiées, les étudiants de certaines filières générales peuvent avoir du mal à trouver du travail ?, explique Vincent Chriqui, directeur [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] général du Centre d’analyse stratégique.
Les cinq propositions du Centre d’analyse stratégique