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Entre Cité de la peur et Soupe aux choux, avec gags pétomanes et digressions burlesques à gogo, Fatal sera sur les écrans le 16 juin. Micha?l Youn, qui signe ici sa première réalisation, a présenté le film en avant-première hier soir, aux cinémas Variétés et Pathé-Lingostière (Nice). Une farce qui tient sa seule promesse : nous faire rire.
Est-il vrai que vous avez fait vos études sur la C?te ?
J’ai fait [url=http://www.skoda-witzke.de/woolrichoutlet.php]woolrich online shop[/url] l’?cole de commerce de Sophia Antipolis. Quitte à mentir, j’ai préféré en faire ma profession en devenant comédien. N’empêche, ?a mène à tout car les gens qui m’ont aidé sur le scénario de Fatal sont mes potes de l’époque.
Quel étudiant étiez-vous ?
Pas très sage. Avec cinq ou six copains, en réunissant nos allocations, on se payait des baraques qui valaient une fortune. Des [url=http://www.corsodiesperanto.it/moncleroutlet/]moncler outlet[/url] colocations à Valbonne, Antibes, Vallauris… [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] Je passais plus de temps à organiser des soirées qu’à travailler. Ce qui ne m’a pas empêché de décrocher un master de management !
Dans ce film, vous êtes Fatal Bazooka. Le pitch ?
C’est l’histoire d’un rappeur qui avait envie de gagner beaucoup d’argent et d’épater la galerie. L’histoire du bling-bling. J’aurais pu [url=http://www.skoda-witzke.de/woolrichoutlet.php]woolrich[/url] tourner ce film sur la C?te, mais j’avais envie d’un endroit sans charme. [url=http://www.marrakech-hotel.fr]hollister france[/url] Ici, c’est trop beau.
Pour la gloire, votre rappeur a [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] laissé sa dignité au vestiaire. Y a-t-il un peu de vous chez Fatal ?
Je ne crois pas avoir jamais laissé ma dignité au [url=http://www.burnabystorage.com/barbour.php]barbour milano outlet[/url] vestiaire. Même en me mettant à poil sur des plateaux de télé. Pour moi, la seule chose qui soit indigne, c’est l’impudeur [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] de l’?me. [url=http://bbs.123gene.com/home.php?mod=space&uid=276981][/url] Mais dans ce film, il y a évidemment des passerelles avec ma vie de « vidette ». La grande question, c’est de savoir ce qu’il [url=http://www.wiis.fr]louboutin pas cher[/url] advient d’un être humain quand, du jour au lendemain, il passe de l’ombre à la lumière. Et quand le projecteur se détourne, ou quand l’image devient floue. Pour l’avoir vécu, c’est le seul truc qu’il me semblait intéressant de raconter.
La notoriété vous a transformé ?
La notoriété, ?a change tout. Jusqu’au jour où vous vous [url=http://www.zaolajiao.com/home.php?mod=space&uid=37877&do=blog&quickforward=1&id=219574]louboutin pas cher Nice-Lyon la composition des[/url] rendez compte que vous pouvez tout faire comme avant. Moi, j’habite à Disneyland. A Montmartre, je veux dire…Eh bien, j’ai une vie complètement normale. Je n’ai pas de Hummer, je me déplace à scooter.
Votre héros réalise qu’il n’est qu’une ligne supplémentaire sur la liste des courses. Et vous ?
Mais oui, rien de plus. Regardez, quand les gens connus disparaissent. J’étais très pote avec le comédien Jocelyn Quivrin, qui s’est tué [url=http://ramen.6.ql.bz/cgi-bin/aska/aska.cgi?res=293%22]barbour deutschland RER grèv[/url] au volant. C’est fini, plus personne ne parle de lui. On oublie, et la vie continue.
Vous avez écrit une chanson pour Stéphane Rousseau, alias Chris Prolls. La musique vous reprend ?
On a sorti un clip sur Internet, ?a s’appelle faire du buzz. J’aime bien faire des blagues, des chansons rigolotes. Si ?a amuse les [url=http://www.corsodiesperanto.it/woolrich.php]woolrich outlet[/url] gens, tant mieux. J’ai bien conscience de ne pas écrire une nouvelle page de la musique symphonique !
Aujourd’hui, la plupart des jeunes vous adorent. Pourquoi ?
S?rement parce que je m’autorise les bêtises qu’ils n’ont pas le droit de faire ?
Et la plupart des adultes vous détestent…
Peut-être parce qu’ils connaissent mal [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]www.tagverts.com/barbour.php[/url] mon travail. Maintenant, je suis un enfant de ma génération et je revendique un humour malpoli qui ne pla?t pas à tout le monde.
Comment faire rire en allant aussi loin dans le mauvais go?t ?
Oh, j’ai fait bien pire ! Il y avait dans le film des scènes pas piquées des vers que le producteur a choisi de sabrer. En fait, j’ai en moi un peu de Fatal [url=http://www.anepf.fr]doudoune moncler[/url] Bazooka. Fatal, c’est le beauf que je m’interdis d’être.