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Longtemps filière "poubelle", le bac [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs/epad.cgi]nike air jordan pas cher Des[/url] L est pourtant loin d'être un refuge d'irréductibles "je m'enfoutistes" qui ne pensent qu'à leur profonde vie d'adolescent et ne s'intéressent à rien. Avec un coefficient 7 en philosophie, il est difficile d'ailleurs de s'expliquer comment on peut penser une seconde?qu'aucune forme de raisonnement n'est nécessaire pour décrocher?ce sésame.
Là est le drame : alors même que les scientifiques s'inquiètent du désintérêt pour les filières universitaires de leurs matières, les maths en premier, on continue de faire croire que le bac S est le seul à former des élites.
Je pense que le problème qui se pose est que les parents des "meilleurs" élèves (quoique, il n'y a pas que de très bons [url=http://lcmdxx.xicp.net/E_GuestBook.asp]tiffany ou[/url] élèves en S...) veulent ouvrir un maximum de portes à leur progéniture sans se préoccuper le moins du monde de leurs aspirations ou?de la réalité de leurs capacités. En effet, un élève médiocre de S n'a quasiment aucune chance de réussir médecine, mais on l'envoie au "casse-pipe", alors qu'il aurait sans doute obtenu, s'il avait des affinités littéraire, un bac L avec mention.
Certes, il s'agit d'une filière de haut niveau qui permet à l'élève d'avoir "emmagasiné" une certaine somme de connaissances... mais pour?quoi faire??
Alors que l'on a tout entendu sur la disparition en terminale S, sauf option, du cours d'histoire-géographie, il me para?t étonnant qu'on parle si peu de l'orientation post-bac. Bien que cette problématique concerne l'ensemble des bacheliers, l'exemple des élèves [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] de la filière scientifique est pertinent pour en exprimer les enjeux.
En connaissance de cause, lorsque l'on voit arriver à 20 ou 21 ans des jeunes qui reprennent une première année dans un domaine littéraire ou juridique après deux [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] années infructueuses en médecine, il y a de quoi s'alarmer. Car sur le nombre de S, combien sont réellement motivés pour effectuer une carrière scientifique ou médicale ? Combien le souhaitent ? Et combien utiliseront leurs savoirs scientifiques, visiblement si vitaux, dans leur profession [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php‎]giuseppe zanotti soldes[/url] ? Car c'est bien ?a qui compte, non ?
Il n'existe pas une seule heure de cours, au lycée général, sauf volontariat?du personnel,?destinée à expliquer le fonctionnement de [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] l'université et des grandes écoles, les débouchés [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] des différentes filières, sans parler des professions. Seuls les conseillers d'orientation-psychologues sont là : mais ils sont de toute fa?on trop peu nombreux pour s'avérer efficaces. Car sur?cent élèves, combien en ont rencontré un plus d'une?heure ??Combien connaissent le schéma des études supérieures ? Combien savent ce qu'est un actuaire, un [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] audioprothésiste, un sémiologue?ou un rédacteur technique ?
Il n'est donc pas étonnant à l'heure actuelle,?qu'après quelques temps [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] à barbotter dans les eaux tumultueuses des filières longues, la majorité des étudiants?en situation d'échec?se dirigent vers des études?de niveau?bac + 2. Ce sont de très bonnes formations. Dommage qu'ils ne l'aient pas su trois ou quatre [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel pas cher[/url] ans plus t?t...
Ce qui me fait me gausser, en tant que, de par mes diverses expériences, spectatrice de l'orientation des jeunes, c'est [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] qu'on ne se pose pas la question : mais [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] pourquoi avoir fait S si c'est pour aller en hypokh?gne ?
La faute à qui ? Un système d'orientation des élèves complètement défaillant, des formations supérieures?opaques pour la plupart des parents et des ados. Les cabinets privés spécialisés vont jusqu'à facturer 400 ? un bilan complet des?possibilités de l'élève, alors même que cela [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant pas cher[/url] devrait être effectué par les établissements scolaires.
Quand on connait le co?t moyen d'une année dans le supérieur - environ 8000 ? si l'étudiant vit séparé de ses parents et [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] est à l'Université, hors bourses?- il y a de quoi y réfléchir à deux fois.
La refonte en cours de la première année des études médicales vise d'ailleurs à faciliter les passerelles en 1ère année de Licence pour les étudiants en difficulté. Il vaudrait sans doute mieux penser un système performant d'orientation dans le secondaire et le supérieur, [url=http://www13.plala.or.jp/gakuki3/cgi_bin/aska/aska.cgi]giuseppe zanotti pas cher BEL[/url] avec des rendez-vous réguliers organisés par des professionnels ma?trisant toutes les arcanes des différents dipl?mes. Mais les moyens manquent...
Comme le soulignent les chiffres de la Chronique de Mme Blanchard dans le Monde du 17 décembre, la plupart des anciens élèves de S se tournent vers des études prestigieuses, médecine en tête. Il para?t également logique que 20% d'entre-eux continuent en prépa littéraire.