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Le "off" a ses piliers, ses "incontournables" : des acteurs qui reviennent chaque année et qui ont parfois plusieurs spectacles [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] à l'affiche. Alors allons Manuel Pratt. A 54 ans, il boucle son 27e festival, toujours avec la même énergie et une bonne dose de colère. A l'ombre du figuier de la terrasse du thé?tre de la T?che d'encre, où il joue quatre de ses pièces, le comédien estime que "le off d'Avignon se meurt, parce qu'il devient people". Ce qu'il ne supporte pas : "Les stars de la télé, purs produits Kleenex qui viendront , leur spectacle car, comme ils le disent eux-mêmes : ''En province, on teste, le meilleur, c'est pour Paris''. Quel mépris !" Manuel Pratt n'a ni tract, ni affiche. Il remplit à ras bord les petites salles de la T?che d'encre gr?ce à un public d'habitués et au bouche à oreille. C'est trois euros l'entrée et à l'issue de la représentation chacun verse?— ou pas – au chapeau. "Un humoriste ne doit être ni correct, ni franchouillard", dit-il. Lui ne l'est jamais et son registre dépasse largement l'humour noir pour s', avec succès, dans le thé?tre documentaire.

A deux [url=http://foroebooks.net/discussion/17030/hollister-france-significance-of-link-wheel]hollister france Significance Of Link Wheel[/url] pas des locaux du Off, où journaliste que je suis, je retire mon accréditation, le thé?tre du Balcon nous tend les bras. Une belle salle devant laquelle, en ce début d'après-midi, patiente une longue file d'attente. C'est bon signe. "Building, il para?t que c'est bien", avais-je entendu ici et là. A Avignon, l'offre est tellement pléthorique, qu'on écoute facilement les "on dit". Après une heure et quart passée avec le patron et les employés de Consulting conseil, un tonnerre d'applaudissements salue cette pièce dr?le et caustique. Building, de Léonore Confino, mise en scène par Catherine Schaub, c'est la vie d'une entreprise, à l'échelle d'une journée de travail, dans tout ce qu'elle peut de cynique et de pathétique. Un spectacle percutant dont on garde en mémoire l'incroyable discours du PDG, prononcé en prologue et en épilogue de la pièce. Deux versions qui font d'effroi ; la première à cause de ses éléments de langage à l'attention du petit peuple des employés, la seconde par son c?té heure de vérité, juste en [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] modifiant quelque mots de jargon entrepreneurial. Un remarquable exercice de . Building, c'est aussi mon premier coup de c?ur pour une comédienne, , formidable en "executive woman" surexcitée et désespérée. Avignon commence bien.
Les compagnies qui se produisent en dehors des remparts doivent d'énergie pour le festivalier de s'évader des ruelles de la cité des papes. Surtout lorsqu'il fait un soleil de plomb. Au-delà des remparts, si loin, si proche. Pourtant, on ne regrette pas le . Boulevard Champfleury, juste derrière la gare, L'Entrep?t accueille chaque jour à 11 h 25 A peine une sensation, un ciné-concert-thé?tre imaginé par la compagnie Anitya. Huit musiciens, deux comédiens, un chef d'orchestre-gestificateur pour un voyage dans l'illusion sur grand écran. Basé sur un montage de films amateurs réalisés entre les années 1930 et 1970, la troupe d'A peine une sensation con?oit en direct la bande son de ces images. Le réel se mêle à la fiction lors d'une incroyable séquence de tournage "in vivo" d'une scène de Nosferatu. Les comédiens sont sur le plateau et sur l'écran, dialoguent entre eux, faisant fi de la réalité et de l'illusion. On bénit le cinématographe et on repense à .
Bon, puisque je suis passée "rive [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] droite", autant dans ces complexes de l'humour qui affichent une liste de stand up d'humoristes longue comme une carte de restaurant chinois. Au Palace, sur l'avenue principale d'Avignon, entre Julien Courbet et Le con, la cruche et le chaud lapin, s'est glissée la première comédie de Bernard Werber, l'auteur de la Trilogie des fourmis, ignoré de la critique mais lu par des millions de personnes. Dans Bienvenue au paradis, un tribunal céleste juge "l'?me 103 683". Nom : Anatole Pichon. Dates : 1952-2009 (a trop fumé). Profession : ancien magistrat. Défaut : n'a pas su ses talents. Dans ce qui se place "au-dessus de la morale terrestre", on apprend qu'une vie c'est "25% d'hérédité, 25% de karma et 50% de libre-arbitre". [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] Des proportions que M. Pichon n'a pas su gérer. Le talent des comédiens sauvent l'absence de mise en scène et la [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] longueur du réquisitoire de l'accusation. En sortant, on se demande pourquoi ce "paradis" a choisi Le Palace.
11 heures du matin au thé?tre du Chêne noir ; une ancienne chapelle devenue depuis quarante ans un lieu de création artistique. Les festivaliers [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] se bousculent pour décrocher une place ; même si c'est une marche d'escalier. Tout est à . L'objet de leur désir se nomme H?tel Paradiso. L'un des spectacles dont tout le monde parle dans le "off". .
En me dirigeant vers la rue des Teinturiers, l'une des plus animée du "off", je passe devant la petite salle de l'Art en scène. Ici, point de cohue. Juste le bruit des cigales. A 16 h 45, fait son one man show, loin des usines à de la rue de la République. C'est courageux. Allons-y. Nous sommes à peine dix dans la salle. L'humoriste se lance, avec élégance et espoir. "Non seulement vous êtes deux mais vous n'avez pas de bras ?", l?che-t-il. Les quelques spectateurs sourient, promettent de le . Sa galerie de personnages nous emmène au musée, sur le plateau d'une émission littéraire, dans un meeting . Son univers est surréaliste et l'ambiance aussi. "Vous ne vous voulez pas qu'on aille une bière ?", propose, par dépit, le comédien. Tout cela a-t-il encore un sens ? une salle, vaille que vaille, quotidiennement des tracts, tant d'investissements pour si peu de [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan pas cher[/url] monde. Pourtant, son spectacle n'a rien à à une flopée d'autres one man show. Mais lui [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] n'est pas estampillé "vu à la télé". A la sortie, Benjamin Leblanc vend [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] Le cachalot soluble, le journal de tout ce qu'il n'est pas indispensable de ne pas déjà. Dr?le et absurde, comme lui. Cela co?te un euro. Tous les spectateurs l'achètent.
Du matin au soir, en s'organisant bien, le festivalier sait qu'il peut découvrir quatre à cinq spectacles. Il est comme dans un jeu de piste et de découvertes, déambulant programme sous le bras ou application du off téléchargée sur son smartphone, sans cesse sollicité à la main pour un tract. Rituel incontournable qu'il fait bien volontiers. Voilà le récit de mes premiers jours de marathon dans le "off" d'Avignon. Avec un parti pris : l'éclectisme.
1 258 spectacles, cela en fait des occasions de et d'échanger. Au c?ur des remparts, dans l'h?tel où j'ai la chance de résider, trois feuilles ont été affichées dans le hall et remplies par les clients, au fil des 24 jours de festival. Trois feuilles pour trois catégories de spectacles : "à [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] absolument", "à voir" et "à éviter". Chacun y va de ses conseils, de ses coups de c?ur ou de ses coups de colère rédigés à la h?te. Un , un lieu, personne ne s'étend parce qu'à Avignon, le temps file à toute allure.
faire des choix. , dans ces 400 pages de programme du Festival "off" d'Avignon. Assise à la terrasse d'un café, le délicieux bruit des cigales en fond sonore, je m'attèle à cette lecture fastidieuse mais remplie de promesses. Mes voisins de table m'interpellent : " avez vu quoi de bien ?" ; petite phrase rituelle entre festivaliers. Car les dizaines de milliers d'affiches qui envahissent les rues, les centaines de milliers de tracts distribués quotidiennement ne pèsent pas si lourds face à l'arme de décision massive pour remplir?— ou [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] pas?— les 125 lieux du off : le bouche à oreille.
Ses deux spectacles du soir (qu'il alterne jours pairs/jours impairs) sont à sans détour : Les Origines du mal nous plonge dans la tête d'un serial killer et Le Ticket oblige le public à lequel des deux personnages (la femme pleine de bonne conscience qui se croit héro?que et l'homme ordinaire dont la franchise nous renvoie à nos propres travers) doit . Un jeu de la vérité percutant. Et puis chaque matin à 11 heures, il joue, en alternance, Les Volets clos, une pièce sur l'univers des maisons closes, et Les Tranchées, consacrée aux soldats de la Grande guerre qui ont dit non. Ce "marathonien" de la scène, au corps couvert de tatouages pour qu'on oublie sa maigreur, dit du thé?tre "pour la société plus humaine". L'homme est sincère.
Un rafra?chissant jus d'ananas et de gingembre dans la cour de l'Entrep?t (le gingembre est à la cette année dans les buvettes du "off") et retour place de l'Horloge, névralgique de cette fête du thé?tre. Emballée et bouleversée par Une vie sur mesure de Cédric Chapuis au Cinévox (), je choisis de avec cet auteur dans la jolie salle du Petit Louvre, à la Chapelle des Templiers. Dans un tout autre registre, Cédric Chapuis présente Dans les draps de Morphée, qu'il a coécrit avec Céline Picart et mis en scène. Cette pièce est une histoire vraie, celle d'une jeune femme victime de [url=http://www.hexian123.com/home.php?mod=space&uid=2397][/url] la drogue du violeur et qui décide de plainte. En lisant son récit, Cédric Chapuis a découvert, avec sidération, toutes les coulisses d'un dép?t de plainte pour viol et le long, très long parcours judiciaire. Il a voulu en scène cette histoire à la manière d'un polar. "J'ai tenté de un sur le combat de ces victimes", explique l'auteur. Didactique, pédagogique – parfois à l'excès –, Dans les draps de Morphée est malgré tout une ?uvre salutaire.
Petite pause dans le marathon. A , demain.
Elle est "vue à la télé" (On ne demande qu'à en rire), entendue à la radio (On va tous y passer) et joue dans une "usine à rire" (Le Paris) : c'est dans L'?uf, la poule ou Nicole ? Ancienne professeur de science de la vie et de la terre, elle s'est lancée il y a trois ans dans le one woman show et remercie à la fin de son spectacle et Frédéric Lopez. Elle fait le plein gr?ce à cette exposition médiatique. "Rien ne sert d'être à moitié, être quelqu'un c'est être un tout", dit-elle. Soit. Il y a quelques vrais moments dans son spectacle : son imitation du rappeur Booba sur un texte de , sa séance de coaching pour des en période de crise économique, et son personnage de femme du chef d'entreprise qui compare le licenciement au don d'organe. Les imitations sont réussies, l'énergie est réelle mais Nicole Ferroni peine à le genre et à s'émanciper du modèle Foresti.
Le Chêne noir [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] fait partie des salles avignonnaises qui ont acquis une bonne réputation gr?ce à une programmation soignée. [url=http://www.baicaidi.com/home.php?mod=space&uid=27334][/url] Alors je me laisse par un deuxième spectacle : Le Lien, d'Amanda Sthers. L'histoire d'un homme et d'une femme qui se découvre demi-frère et demi-s?ur à la mort de leur père. Bien s?r, ils sont issus de milieux très différents?— lui plut?t bad boy, elle plut?t grande bourgeoise?—, et, bien s?r, ils vont une attirance l'un pour l'autre, s' et se détester à la fois. "Je ne vous imaginais pas comme cela", lui dit-elle lors de leur première rencontre. Moi non plus, je n'imaginais pas ce spectacle comme cela. Si Chloé Lambert interprète avec force une jeune femme bousculée dans ses principes et sa vie bien établie, , sans cesse tête baissée et le regard fuyant, ne convainc pas dans le r?le du "prédateur". La déception, cela fait aussi partie d'Avignon.

cjkekgg22h · Posted: Tue 3:22, 24 Sep 2013 Post subject:

Après une ouverture en hausse de près de 2 %, le marché parisien a [link widoczny dla zalogowanych] très vite replongé dans la matinée de près de 3 % cassant le seuil des 2 800 [link widoczny dla zalogowanych] points après déjà deux séances noires (- 4,03 % la veille et - [link widoczny dla zalogowanych] 3,60 % vendredi). Les investisseurs ont été affolés par plusieurs rumeurs notamment sur [link widoczny dla zalogowanych] le fait que Pékin refuserait d' des obligations d'Etat italiennes, alors que selon des informations de presse, la l'envisageait. L', troisième économie de la zone euro et qui ploie sous l'une des dettes publiques les plus lourdes de l'Union monétaire, est dans la ligne de mire des marchés.
Le CAC 40 a tout de même réussi à se dans le vert en début [link widoczny dla zalogowanych] d'après-midi sur la foi de rumeurs selon lesquelles et la chancelière allemande Angela Merkel envisageaient une initiative commune pour la [link widoczny dla zalogowanych] . dans la journée, mais les deux responsables vont une téléconférence mercredi avec le premier ministre grec, éou, sur la crise grecque, selon une source gouvernementale hellène. "Le marché se raccroche au maigre espoir d'une annonce forte dès demain, mais il faut bien reconna?tre que les dirigeants ont [link widoczny dla zalogowanych] surtout jusqu'à présent fait preuve de leur incapacité dans ce dossier", estime , gérant d'actions chez .
Le secteur bancaire, particulièrement chahuté par de nombreuses interrogations sur sa solidité [link widoczny dla zalogowanych] financière, [link widoczny dla zalogowanych] s'est quant à lui redressé de manière spectaculaire en fin de séance. Le Société générale, plus forte hausse du CAC, a progressé de près de 15 %. Le BNP Paribas a quant à lui cl?turé en hausse de 7,20 %, après perdu plus de 10 % dans la matinée. Ces titres remontaient, comme l'ensemble des valeurs bancaires, sur des espoirs que le couple franco-allemand se saisisse du cas grec.
La York a terminé en hausse, les marchés étant apaisés par les assurances données par les banques fran?aises sur leur solidité. Le a gagné 0,43 % et le Nasdaq 1,47 [link widoczny dla zalogowanych] %.
, notamment pour les valeurs bancaires, la de [link widoczny dla zalogowanych] Paris a terminé, mardi 13 septembre, en hausse de 1,41 %, après fluctué pendant toute la séance au gré des rumeurs. Les [link widoczny dla zalogowanych] autres places européennes, autant pendant la journée nerveuses, ont aussi cl?turé en hausse : Francfort gagnait 1,85 %, Londres 0,87 %, Madrid 2,53 % et Milan 2,19 %.
Les déclarations du Brésil ont aussi apporté un peu d'espoir aux investisseurs. Le ministre des brésilien, Guido Mantega, a annoncé que [link widoczny dla zalogowanych] les cinq pays émergents du Brics (, [link widoczny dla zalogowanych] , , Chine, ) discuteront la semaine prochaine de la [link widoczny dla zalogowanych] possibilité de en à l' dans la crise de la dette.
D?MENTIS SUR UNE INITIATIVE FRANCO-ALLEMANDE