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La situation économique, et sociale en Grèce mais aussi sa situation financière sont bien plus graves qu'avant la mise en oeuvre du plan de sauvetage qui a mobilisé depuis mi-2011 les dirigeants de la zone euro, la Banque centrale européenne (BCE) et le Fonds monétaire (FMI). L'endettement global de la Grèce est ainsi devenu supérieur à ce qu'il était avant le déblocage de la première tranche du plan début 2012 : prêter à un créancier surendetté à des taux supérieurs à ceux de sa dette initiale, [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] lorsque sa croissance économique est nulle ou négative et le niveau d'inflation faible, ne peut qu' son endettement. Ce plan, vital pour éviter un défaut incontr?lé de la Grèce, a momentanément rassuré l'ensemble des [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] interlocuteurs de la zone euro. Mais il ne permettait que de du temps.
Dans les trois [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] prochaines semaines, il faut d'abord résoudre le problème financier grec [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/‎]hollister paris[/url] : la dette grecque, 375 milliards d'euros, dont l'essentiel est d? à des créanciers de la zone euro, représente des montants insignifiants au regard des agrégats macroéconomiques de la zone [url=http://www.ebay.com/itm/aw-cgi-/160623306404?clk_rvr_id=401952862072]moncler pas cher LIrak na jam[/url] et des pertes que subit quotidiennement l'ensemble de ses Bourses depuis plusieurs semaines. Pour éviter la sortie de la Grèce avant ou après le 17 juin, il n'y a pas d'autre voie qu'un nouveau plan de restructuration de sa dette globale, qui inclut non seulement celle de l'Etat grec, mais aussi l'ensemble des dettes des ménages et des grecques. Il faudra de nouveaux abandons de créances, c'est-à-dire de la destruction de dette, donc de monnaie, et par là de capital. A quoi s'ajoute un étalement du solde restant sur plusieurs décennies. Les pertes seront supportées par les contribuables européens, les banques européennes et autres [url=http://cgi.www5d.biglobe.ne.jp/~riding/aska/aska.cgi/]concoagulate%3E]nike air jordan pas cher La F[/url] investisseurs, les banques internationales. A elle seule, une telle restructuration ne sera pas suffisante, si on n'y ajoute l'équivalent [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] d'un plan Marshall en faveur de la Grèce. Il faut ensuite immédiatement se du cas de l' d'abord, puis du [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] et de l', plus mena?ants encore pour la survie de la zone euro. En évitant les mêmes atermoiements que sur la Grèce : plus on attend, plus les pertes subies seront grandes.
Catherine Gerst, avant de en 2008, Rogerson cabinet [url=http://comunidad.deportesevilla.tv/profile.php?user=wts773uz73&v=comments]Un monde sans historien Désordres philosophiques[/url] de communication financière a été directrice générale de Moody's France.
n'entra?ne un éclatement de la zone euro.
Avec la Grèce, il s'agissait d'éviter que la perte initialement prévisible ne s'aggrave en admettant dès le départ qu'elle ne pourrait jamais , lestée de déficits abyssaux découverts trop tard par ses partenaires, et p?tissant d'une croissance négative proportionnelle au plan [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] d'austérité qui lui est appliqué. Faute d' suffisamment t?t accepté cette évidence, la zone euro a aggravé sa perte potentielle sur ce pays. L' doit maintenant face, dans l'urgence, à une question plus préoccupante : la contagion, par le [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler[/url] vecteur d'une crise bancaire espagnole, puis portugaise et irlandaise. Pour l'éviter, il faut rapidement un plan audacieux de restructuration de la dette de ces pays. Il s'agit là d'une décision [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] purement politique. Faute d'une telle démarche, l'éclatement de la [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] zone euro devient un scénario inévitable, dont les conséquences financières dépasseraient de loin le montant de la seule dette grecque.
Il [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] est regrettable que les gouvernants n'aient pas utilisé ce délai de gr?ce, de fin 2011 à mars 2012, pour au du débat le véritable enjeu, le risque d'éclatement de la zone euro, au lieu de s'en imposer le calendrier par la dérive de la situation grecque. Ce scénario démarrerait par la sortie de [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] la Grèce. Déjà le système bancaire grec a vu ses dép?ts d'un tiers en deux ans (de 240 milliards d'euros début 2010 à 170 au premier trimestre 2012), et cette situation s'est récemment accélérée. Si ce début d'inquiétude des épargnants grecs n'a pas pour l'instant concerné d'autres épargnants européens, on observe que les grands groupes européens ont commencé à leurs dép?ts des banques et pays "périphériques". C'est par une crise de son système bancaire que la zone euro pourrait ainsi éclater.