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Le PMU est l'un des grands gagnants de l'ouverture du marché. L'opérateur historique a affiché une croissance du volume des mises collectées de 2,6 %, à 9,54 milliards d'euros en 2010. Une progression due à une bonne résistance de son activité traditionnelle de pari hippique, dans son réseau de points de vente et sur Internet, mais aussi à une entrée réussie sur les nouveaux marchés du pari sportif et du poker en ligne. Philippe Germond, patron du PMU, estime être désormais dans le top trois des paris sportifs en ligne avec une part de marché proche de 17 %, devan?ant dans ce secteur son grand rival, la FDJ (ex-Fran?aise de jeux).
Certaines, sur la taxation et le taux de retour au joueur ont été reprises par le député Jean-Fran?ois Lamour [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] dans un rapport conjoint avec Aurélie Filippetti (PS). D'autres rapports, émanant de l'Arjel, du Sénat et du gouvernement, suivront. Même si Fran?ois Baroin, ministre du budget, a prévenu qu'il n'y aura pas [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] d'évolution majeure du périmètre des jeux autorisés et de la fiscalité avant l'élection présidentielle.
Dans le domaine du poker, Winamax, société appartenant à et , et PokerStars font la course en tête. Suivi d'. A eux trois, ils détiendraient près de 80 % du marché. Pour les paris hippiques sur Internet, le du PMU n'est autre que Zeturf. Des positions qui n'ont guère évolué. "Le marché s'est vitrifié et la concentration a été plus rapide que prévu", constate M. Germond.
La loi sur l'ouverture des jeux en ligne a fait l'objet de toutes les attentions. Tout devait être fait pour [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler[/url] que le cadre légal soit prêt à l'ouverture de la de en juillet 2010. L'Autorité de régulation des jeux en ligne (Arjel), chargée de délivrer les licences aux opérateurs, avait même commencé à avant même la promulgation effective du texte, le 12 mai 2010. Sans les décrets d'application, publiés en un temps record.
Du c?té des nouveaux entrants, quelques acteurs ont très vite capté une part de [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] marché substantielle. BetClic, filiale de Group, entité détenue conjointement par Stéphane Courbit et la Société des bains de mer de (SBM), s'est ainsi arrogé 40 % du marché des paris sportifs en ligne, devan?ant son grand concurrent, la société Bwin (20 %).
Certains ont préféré l'éponge. A l'instar de TF1, qui a cédé son site Eurosportbet. Ou de Canal+, qui a abandonné avant même de . La concentration se joue aussi au niveau européen, Bwin et [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] Partygaming ayant décidé de . Et après une offensive de communication en 2010, tous adaptent leurs "mises" [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] [url=http://www.megalopolis.mx/index.php?do=/blog/240118/hollister-sale-le-rÃ©gulateur-amÃ©ricain-se-penche-sur-lacco/]hollister sale Le régulateur américain se penche sur lacco[/url] au marché. "Nous coupons tous nos investissements publicitaires hors Internet", affirme Nicolas Béraud, patron de BetClic Everest Group.
En revanche, [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] le poker a b?ti [url=http://clasificados.vendoaqui.com/item/180282]ugg pas cher Picking Out For The Best Quality Kios[/url] son succès dans la durée. Quant à l'hippisme, il a prouvé qu'il savait résister à ses nouveaux concurrents. Près de 693 millions d'euros ont été misés sur les courses par les internautes entre juin 2010 et [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] mars 2011. Les chiffres définitifs sur la première année d'exercice de la loi de libéralisation ne seront connus que fin juin, mais Jean-Fran?ois Vilotte, président de l'Arjel, estime que "les paris sportifs devraient représenter entre 700 millions et 800 millions d'euros, les paris hippiques de 800 millions à 900 millions d'euros, les droits d'entrée aux tournois de poker de 800 millions à 900 millions d'euros et les mises en cashgame de 6 millions à 7 milliards d'euros".
Cet opérateur, dont l'Etat détient 72 %, est aussi l'un des grands gagnants de l'ouverture, même s'il fait un démarrage plus lent sur les paris sportifs et le poker, [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] où il s'est associé au groupe Barrière. Pour la première fois en 2010, son activité a dépassé les 10 milliards d'euros, démontrant la force de son réseau (près d'un milliard d'euros de paris sportifs) et la vitalité de son offre de jeu de loteries [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] et de grattages qui restent sous monopole.
Après un départ en fanfare lié à la Coupe du monde en , les paris sportifs se sont essoufflés. Au point qu'au premier [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] trimestre 2011, le total des mises, estimé à 147 millions d'euros, était en recul [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/‎]hollister paris[/url] de 26 % par rapport au trimestre précédent, alors que 595 millions d'euros ont été joués sur les sites de paris sportifs entre juin 2010 et mars 2011.
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L'Arjel a pu agréer 35 opérateurs, qui ont re?u au total 49 licences : 25 pour le poker, 16 pour les paris sportifs et 8 pour les paris hippiques. Et, selon les derniers chiffres publiés par l'Autorité, 3,5 millions de comptes joueurs auraient été ouverts sur ces sites, dont 1,3 million étaient actifs au premier trimestre.
d'argent en ligne s'ouvrait officiellement à la concurrence en France le 8 juin 2010 et un an après, l'heure est [url=http://www.kenmedia.co.jp/movies/killers/killer_bbs/killer_bbs.cgi?p]moncler pas cher How Using A [/url] au bilan d'étape. Les opérateurs historiques ont bien résisté à la concurrence de quelques nouveaux entrants, qui ont préempté le marché. Mais les tenants du pari sportif sont les premiers à reconna?tre que l'eldorado annoncé par certains n'est pas au rendez-. Les nouveaux venus n'attendent qu'une chose : les cartes pour améliorer leurs chances de décrocher le jackpot au prochain tour. Car aucun acteur ne gagne encore de l'argent.
Surtout, l'heure est au lobbying pour un cadre législatif plus favorable. Fédérant autour de lui Sajoo, Zeturf, et , BetClic Everest Group publie, mardi 7 juin, un livre blanc dans lequel il réclame une révision de la loi qui prévoit une clause de revoyure fin 2011. "Nous avons un vrai souci de l'attractivité de l'offre", affirme M. Béraud, pour qui nombre de gros joueurs sont repartis sur des sites illégaux. Amélioration du taux de retour au joueur, plafonné à 85 % ; taxation fixée non plus sur les mises mais sur le produit brut des jeux ; ouverture aux jeux de casino : les demandes sont connues.