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"Dans dix ans, je suis convaincu que l'on regardera comme une anomalie les années 1960 et 1970" – acmé de la civilisation de l'auto –, assurait récemment dans le [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan pas cher[/url] l'un des responsables de , un groupe de pression new-yorkais pro-transports en commun. "Les antivoitures ne sont pas [url=http://www.advertiseza.co.za/item/98285]louboutin DSK, une bulle politique[/url] plus nombreux qu'autrefois, mais on les entend davantage", tempère-t-on chez Renault.
Pour les constructeurs, la catégorie critique est celle des acheteurs de moins de 30 ans. Ces générations, exclues pour des raisons économiques [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] du marché du neuf et qui n'ont pas connu l'?ge d'or de l'automobile, ne peuvent pas les mêmes références que leurs a?nés. "Il va se préparer à les choses et les traditions", prévient Bruno Mo?ta, chez Citro?n. Ce qui devrait les intéresser ? Le style des , évidemment. Mais aussi les connectés avec Internet et les aides à la conduite. Bref, tout ce qui, dans une voiture, permettra de autre chose que de un volant.
Pas de quoi, pourtant, rasséréner les . Ceux-ci ne cherchent plus à le : l'imaginaire automobile n'est plus ce qu'il était. Aujourd'hui, ils roulent sur des oeufs. Chez Audi, l'une des marques les plus en réussite, on considère que "dans les prochaines années, la part des modes de [url=http://www.nsl.co.jp/jinzai/postmail.cgi]moncler sito ufficiale La pro[/url] transport collectif augmentera au détriment [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] de la mobilité individuelle". Une perspective que partage toute l' automobile, consciente de l'essor des en commun et de la prévisible extension des restrictions de circulation en -ville.
Rappeler que le prix des véhicules neufs a, sur le long terme, progressé bien moins vite que le d'achat moyen, suscite immanquablement l'incrédulité, alors qu'il s'agit d'une réalité statistique. Signe que cette dépense tend à être considérée comme une contrainte plut?t que la satisfaction d'une envie. Autres indices : les jeunes passent leur permis de toujours plus tard, et les modes de [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler[/url] transport alternatifs (auto-partage, covoiturage), quoique encore marginaux, connaissent un engouement croissant.
VOITURE UTILITAIRE CONTRE VOITURE MARQUEUR SOCIAL
La voiture, en bout de course, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] promise à une vulgaire machine à se déplacer comme il existe des machines à ? Le raccourci est tentant, mais trop facile. Deux p?les, pas toujours inconciliables, semblent émerger : la voiture utilitaire [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] et la voiture marqueur . La clientèle de Dacia, la marque low-cost de Renault, est [url=http://ilms-saga.jp/cgi-def/admin/C-002/notice-board/visit/main.pl?PAGE_NUM=1%2525255Dfarmville]peuterey outlet Tennis Monf[/url] composée de deux types d'acheteurs. D'un c?té, les pragmatiques, ceux qui effectuent un "achat malin" sans affect apparent ; de l'autre, ceux qui peuvent enfin s' une voiture neuve. Et en sont fiers, au point d' des réunions champêtres de propriétaires de Dacia comme s'il s'agissait de véhicules de collection... La structure "en sablier" du marché (fort dynamisme des modèles "premium" et du low-cost, mais grave mévente du milieu de gamme) confirme cette dualité. "La crise incite certains automobilistes à avec encore plus d'évidence qu'ils ne sont pas déclassés. En termes de représentation de soi, la voiture demeure un traceur important", insiste , directeur de la prospective chez Renault.
Cette vision décliniste semble bien moins prégnante dès que l'on s'éloigne des milieux urbains... et totalement [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] étrangère aux pays émergents. En , en , en ou en Amérique du Sud, la voiture est célébrée comme le glorieux marqueur [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] de l'accès à la mobilité et au développement. Selon la situation [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] économique – et les variations de l'indice mesurant le moral des ménages –, l'appétence pour l'automobile peut . Moroses en France, les immatriculations sont reparties à la hausse en ou au et, surtout, aux Etats-Unis.
D'où l'insolente réussite des firmes allemandes de haut de gamme qui, ces dernières années, ont élargi leur [url=http://www.louboumaterialistanyc.com]louboutin[/url] catalogue vers le bas. "Nous ne sommes pas face à un phénomène de rejet. Preuve en est la progression constante du dans les facteurs d'achat d'une voiture", assure Bruno Mo?ta, responsable des produits futurs chez Citro?n, qui voit une issue dans le renforcement de "la dimension émotionnelle" du produit automobile.
des révisions, qui co?tent les yeux de la tête. Tout cela, [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] pourtant, ne suffit pas à la mesure de l'effondrement du marché automobile fran?ais et européen. D'autres signaux, plus ténus mais convergents, évoquent une lente mais continue prise [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan[/url] de distance, un sourd désintérêt des consommateurs vis-à-vis de l'objet . Peut-être même un désamour. En France, on renouvelle sa voiture tous les six ans contre cinq ans en 2007. Les ventes de modèles d'occasion sont quatre fois plus importantes que les immatriculations de modèles neufs, alors que le rapport était de trois à un il y a dix ans.