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Les FRCI ont progressé dans certaines parties de Cocody et jusqu'aux marges du Plateau, où se trouvent les bureaux de la présidence. Mais seule la chute de la résidence marquerait la fin des hostilités dans la capitale économique. Pour d'en , une grande partie des meilleurs commandants FRCI ont donc [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] uni leurs forces mercredi. Après de longs combats au bilan inconnu, les FRCI ont été obligées de décrocher dans la journée, pour se à bonne distance. Dans la [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] nuit, ils sont repartis à l'assaut sans plus de succès en dépit de combats très durs selon une source diplomatique.
De plus, [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] la résidence se trouve dans le quartier de la capitale économique le plus impropre à un combat de rue. La résidence de l'ambassadeur de France n'en est séparée que par un mur. Entre les deux résidences autrefois siamoises, désormais ennemies, un passage secret - parfois décrit comme un tunnel, parfois comme une simple porte - ne risque pas d'être utilisé dans les circonstances actuelles. Au contraire, la tension entre le camp Gbagbo et la France atteint des sommets.
Alassane Ouattara avait tenté de intervenir les troupes fran?aises de l'opération "Licorne" depuis plusieurs semaines pour épauler ses propres éléments, qui n'ont pas la capacité de l' seuls, et rapidement, à Abidjan. Depuis les frappes, lundi, des hélicoptères de l'ONU et de ceux de la force fran?aise de l'opération Licorne, une partie des stocks militaires et des armes lourdes, à par les chars, dont disposaient les troupes pro-Gbagbo, a été détruite. La progression des forces pro-Ouattara, arrivées à Abidjan à bord surtout de pick-up, et incapables [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister[/url] techniquement de d'assaut des camps militaires solidement [url=http://www.kfhfhh.com/forum.php?mod=viewthread&tid=2103061]nike air jordan pas cher A la veille du débat sur lislam et la la cité, tout c[/url] défendus, s'en est trouvée facilitée.
Laurent Gbagbo s'est retranché dans ce petit complexe défendu par un camp de la Garde républicaine, entouré par les éléments les plus déterminés de sa protection personnelle, rejoints par des miliciens. C'est de là qu'il a repoussé avec succès, mercredi 6 avril, les forces d' qui tentaient de le secteur d'assaut, parties au [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] combat [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] convaincues de la journée en for?ant la porte du sous-sol bunkerisé où semble s'être réfugié le président [url=http://www.jeremyparendt.com/jimmy-choo.php]jimmy choo paris[/url] sortant.
Le sort de toute la bataille d'Abidjan et, partant, celui de la , [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister france[/url] se joue dans un [url=http://cwaweb.bai.ne.jp/~toshio/cgi-bin/aska/aska.cgi]moncler outlet Plus indigne q[/url] cul-de-sac. C'est là, à la convergence de deux rues traversant un quartier [url=http://www.otsu.ed.jp/ktt-e/bbs/bbs.cgi/bbs.cgi%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2BResult%3A%2Bchosen%2Bnickname%2B%22roacesharge%22%3B%2Bsuccess%3B%2BBB-code%2Bnot%2Bworking%3B]giuseppe zanotti sneakers Dub[/url] à la splendeur fanée, avec ses villas remontant à la période d'opulence de l'ex-puissance régionale d' de l'Ouest, qu'une guerre s'est transformée en bataille pour [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] une résidence, celle des chefs d'Etat ivoiriens.
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Mais les éléments des Forces républicaines de C?te d'Ivoire (FRCI) de M. Ouattara, qui mènent l'offensive depuis une dizaine de jours à travers le sud de la C?te d'Ivoire, font face à plusieurs contraintes. D'abord, leur chef, Alassane Ouattara, dont l'élection a été reconnue par les Nations unies, ne souhaite pas au après quatre mois de crise électorale en enjambant le cadavre de son rival. Le différend électoral se règle à présent par les armes, et chaque jour qui passe accentue les dég?ts subis par Abidjan, mais Alassane Ouattara ne veut pas que la mort de Laurent Gbagbo en martyr entache son accession au .
Au bout d'une [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] semaine, la bataille n'a pas eu pour résultat d'entra?ner de vastes destructions de la ville. Considérables sont en revanche les pillages. Dans la ville paralysée, l'eau et la nourriture manquent. En dehors de quelques poches où la vie a repris timidement, la circulation est impossible, en raison à la fois des pillards et des tireurs isolés.
La de la résidence où Laurent Gbagbo et ses proches se sont retranchés avec une ou deux centaines de militaires, des armes et un ou plusieurs chars selon les sources, est également assurée par des éléments dispersés dans les environs, jusque dans des résidences diplomatiques. L'ambassadeur du , en difficulté mercredi soir - le toit de sa résidence ayant été utilisé comme position de tir par les éléments pro-Gbagbo, responsables aussi, sans doute, de la mort de quatre de ses employés - a été exfiltré dans le cadre d'une opération de la force "Licorne". Au même instant, les soldats fran?ais chargés de la sécurité de la résidence de l'ambassadeur de France repoussaient une vingtaine de tentatives d'intrusions venant du b?timent voisin.
Chaque heure qui passe menace donc d'entra?ner la France un peu plus loin dans le conflit [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] ivoirien. Dans les heures précédentes, des patrouilles de "Licorne" avaient été prises sous les tirs d'éléments pro-Gbagbo dans d'autres secteurs de la ville, notamment dans le quartier du Plateau, qui mena?ait, jeudi matin, d'être la cible d'une attaque des FRCI. Or le temps presse. Abidjan est au bord d'une catastrophe.
De plus, de graves questions demeurent en suspens. Quelle est la portée des exactions commises dans [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister[/url] certains quartiers comme Yopougon ? Les forces FRCI ont-elles, comme l'attestent certaines sources, mené mercredi une opération violente dans ce secteur majoritairement pro-Gbagbo, mais où la minorité classée pro-Ouattara pourrait été victime de miliciens et de patriotes récemment és ? Jeudi matin, le nombre des victimes des combats de ces derniers jours demeurait inconnu.