cjkekgg22h
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Posted: Sat 9:17, 19 Oct 2013 Post subject: jimmy choo chaussures Rennes tente de sauver ses m |
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Au fil du temps, les lots ont [url=http://cgi.ebay.com.au/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=140751362926]hogan sito ufficiale The Main[/url] été divisés. "Aujourd'hui, un immeuble dans le centre-ville, c'est en moyenne dix logements et autant de propriétaires", poursuit Mme Appéré. Dans une telle configuration, toute décision de travaux relève du casse-tête. D'autant que la plupart d'entre eux n'habitent pas sur place, préférant leurs logements à des [url=http://rover.ebay.com/rover/1/711-53200-19255-0/1?campid=5336182395&customid=pubster&toolid=10013&mpre=http%3A//cgi.ebay.com/ebaymotors/4Pcs-24CM-PVC-LED-CAR-TRUCK-FLEXIBLE-LIGHT-STRIP-YELLOW-/320606899868]moncler sito ufficiale Pour F[/url] étudiants. "Le secteur est très attractif, des studios de 15 à 20 m2 partent facilement [url=http://www.jeremyparendt.com/jimmy-choo.php]jimmy choo chaussures[/url] pour 400 euros, explique l'élue. C'est 1,5 fois plus cher au [url=http://www.lcdmo.com/hollister.php]hollister pas cher[/url] m2 que les prix pratiqués dans d'autres quartiers ou pour de plus grandes surfaces."
de la Ville de Rennes, l'ont surnommée "la cour des miracles". Située entre la place Sainte-Anne [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] et la rue Pont-aux-Foulons, cette arrière-cour offre aux passants la face misérable des beaux immeubles à colombages des XIVe et XVe siècles. Escaliers soutenus par des étais, tourelle penchant dangereusement, structures à pans de bois vermoulues... ici comme dans de nombreux immeubles du historique de la capitale bretonne, le temps et le manque d'entretien rongent les fa?ades médiévales.
Lors de la dernière OPAH dite "copropriétés", lancée en 2007, l'objectif initial de réhabiliter 75 immeubles en cinq ans pour un co?t de 9,5 millions d'euros n'a pas pu être tenu. "Au bout de quatre ans, seuls 57 immeubles avaient fait l'objet de travaux et la facture s'élevait déjà à plus de 22 millions d'euros", résume Nathalie Appéré.
L'eau et les travaux d'aménagement anarchiques sont les principaux responsables des dégradations. "Chacun a bricolé dans son coin pour quelques mètres carrés ou un peu de confort. Les structures se sont fragilisées", poursuit Beno?t Chauvin.
Malgré un [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&rd=1&item=350296583336&ssPageName=STRK:MESE:IT]barbour pas cher soldes Les d[/url] vaste plan de rénovation du vieux b?ti, entrepris dès 1980, [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] la municipalité s'est rendu compte [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] assez vite que le simple ravalement obligatoire des fa?ades ne suffisait pas. Plusieurs opérations [url=http://www.shewyne.com/moncleroutlet.html]moncler sito ufficiale[/url] programmées d'amélioration de l' [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/]abercrombie soldes[/url] (OPAH) se sont succédé depuis 1997 pour les propriétaires privés à procéder aux travaux nécessaires, par des [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] subventions. Avec des résultats mitigés.
Depuis février 2011, la ville est donc passée à la vitesse supérieure en développant des dispositifs incitatifs - des aides financières - mais aussi des mesures coercitives qui peuvent jusqu'à l'expropriation pour les propriétaires récalcitrants et de mauvaise foi. Pour l'instant, aucune procédure n'est allée jusque-là. Gr?ce à ce plan OPAH renouvellement urbain, la ville espère réhabiliter d'ici à 2016, 200 immeubles. 80 millions de travaux devront être engagés. La municipalité de Rennes, l'Agence nationale de l'habitat et la communauté d'agglomération Rennes métropole, devraient à hauteur de 38 millions. Le reste devra être supporté par les propriétaires. "Le co?t des travaux au mètre carré dépasse parfois le neuf. Certains [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister[/url] propriétaires peuvent mais [url=http://www.lcdmo.com/hollister.php]hollister france[/url] d'autres ne sont pas en capacité financière de des frais qui peuvent 800 000, voire 1 million d'euros par immeuble", considère Beno?t Chauvin, de Territoires publics.
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Une expertise menée en 2008 a révélé l'ampleur des dég?ts. Sur les 1 600 immeubles du périmètre historique, 660 sont dégradés, voire "en danger" pour 300 d'entre eux. Face à la dégradation du b?ti, les arrêtés de péril ou d'insalubrité se sont multipliés, une quarantaine à ce jour.
A l'angle de la place et de la rue Saint-Michel, haut lieu des nuits étudiantes rennaises, la silhouette calcinée d'une demeure à pans de bois rappelle qu'un drame a été évité de justesse en juin 2010. L'incendie n'a pas fait de victime mais a fortement endommagé tout un ?lot ancien. Plus d'un an après, le secteur est toujours sécurisé, en attente d'une décision de déconstruction partielle ou totale qui, dans ce périmètre sauvegardé, reste soumise à l'avis de l'architecte des B?timents de France.
MESURES COERCITIVES
Encore aujourd'hui, le centre-ville paie les conséquences de l'incendie de 1720, qui a détruit les trois-quarts du secteur médiéval. Les immeubles les plus affaiblis sont ceux qui n'ont pas br?lé. D'autres ont été reconstruits à la va-vite. Autre effet de l'incendie : la multiplication des copropriétés. Cette spécificité rennaise concerne 80 % des immeubles du centre historique. "Dès le XVIIIe siècle, ce moyen a été utilisé pour les co?ts de la reconstruction", analyse éré, première adjointe déléguée à la solidarité.
Au premier regard pourtant, le centre médiéval porte beau, [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] avec ses fa?ades aux couleurs pimpantes. Mais il suffit de les portes pour la vétusté. Au n° 7 de la place Sainte-Anne, dans la cage d'escalier, une poutre menace de s'. Dans les caves, la situation est encore plus inquiétante. Une forêt d'étais soutient l'immeuble au bord de l'effondrement. "Ils sont là au moins depuis cinq ans", explique Beno?t Chauvin, chef de projet [url=http://www.shewyne.com/peutereyoutlet.html]peuterey sito ufficiale[/url] Centre ancien à Territoires publics, la société publique d'aménagement qui coordonne la réhabilitation du secteur.
Dans ces conditions, certains préfèrent céder à l'amiable leurs biens à la municipalité, voire carrément leur , pour éviter de avec lui.
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