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En France, ces structures ne font pas non plus l'unanimité, [url=http://mjsoft.co.uk/are-uggs-waterproof.html#comment-184428]Les intentions dembauche en CNE évaluées à 452 000 depuis septembre[/url] surtout parmi les proches de personnes [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] dépendantes. , toujours dans La Croix, avec une mère de famille dont [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] les trois enfants ont "touché à la drogue, l'a?né pendant 12 ans". "Quand les autorités sanitaires légitiment la prise de drogue, [url=http://www.sidegemeinde.com/peutereyoutlet.php]peuterey outlet[/url] comment voulez-vous que nos mises en [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]www.par5club.com/louboutin.php[/url] garde restent crédibles [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] pour nos jeunes ? s’interroge-t-elle. Faire croire qu’on peut se droguer proprement, c’est tout simplement scandaleux". [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]www.mxitcms.com/abercrombie/[/url]
? travers [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] un en Espagne, dans la banlieue de Madrid, Le journal part à la rencontre d'un ancien directeur de salle, aujourd'hui directeur de l'agence de santé de la ville de Madrid : Pour lui, il ne s'agit surtout pas "d’un endroit pour se droguer (...) mais d’un dispositif sanitaire dont [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] l’objectif final est de capter ces consommateurs de drogue pour les placer en traitement".
Depuis que les villes de Paris et Marseille ont lancé la [url=http://www.sidegemeinde.com/peutereyoutlet.php]peuterey sito ufficiale[/url] réflexion sur l'ouverture [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] de salles de "consommation de drogues supervisées", le débat prend de l'ampleur. Alors que le [url=http://sz515.com/home.php?mod=space&uid=22539][/url] collectif d'associations en faveur de ces structures est re?u aujourd'hui à Matignon et espère "ramener ce débat à ses vrais enjeux", La Croix rapporte les arguments de ceux qui se battent pour que ces "salles de shoot" existent, mais aussi les arguments de ceux qu'elles effraient.
Cette réticence systématique des familles s’expliquerait par la peur de voir leurs proches s’installer "officiellement et définitivement dans la toxicomanie". "En avalisant l’ouverture de ces salles, les parents [url=http://www.sedoniaguillone.com/guestbook/comment-page-1/#comment-258163]Semaine daffolement dans les coulisses du pouvoir[/url] auraient sans doute l’impression de baisser les [url=http://www.corsodiesperanto.it/peuterey.php]www.corsodiesperanto.it/peuterey.php[/url] bras, d’abandonner leur enfant", explique Claude Millardet, présidente du CAPT (Conseil et aide contre la toxicomanie).
"Le principe est simple" nous explique-t-on, "chaque patient amène sa dose, et une visite avec un médecin est proposée pour tenter de cerner son problème. Chaque trimestre, 70 à 100 patients nouveaux sont admis"."Les voisins étaient très hostiles, le personnel [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich sito ufficiale[/url] a même été agressé parfois, mais finalement le centre a fonctionné et le trafic de drogue n’a pas augmenté pour autant", se souvient l'ancien directeur de centre. "Sur la base de l’expérience de Vall d’Hebron, la ville veut désormais ouvrir deux à trois centres supplémentaires d’ici à 2012".